Vendredi 20 janvier 2017, 15h39, le van roule à travers la forêt, au moment où vous nagez en plein rêve, à quelques encablures de votre réveil matinal. Mais ceci n’est pas l’objet de ces quelques lignes. Revenons sur Melbourne.

Melbourne la grandiose, Melbourne la dynamique, Melbourne l’artistique. Première mégalopole de notre périple et pas des moindres. Les buildings prennent place dans le centre des affaires, comme posés au beau milieu. Des ruelles courent ici et là, lieux de restauration cosy et d’expression artistique. Les avenues, véritables artères de la ville, s’animent au rythme des boutiques huppées et populaires mais surtout dans l’air du temps.



Mais détrompez-vous, ici, aucune sensation d’étouffement, le continent est large et les bâtisseurs de ville l’ont bien compris, nul besoin d’un milieu urbain grand comme un mouchoir de poche. Les parcs et la Yara River font respirer le centre ville, les deux fois 3-voies impressionnent.



Melbourne s’offre le luxe d’accueillir l’un des plus prestigieux tournois de tennis du circuit : L’Open d’Australie. Ici, les joueurs s’échinent à passer les tours les uns après les autres, sous un soleil écrasant. La France est fièrement représentée en ce jour où Gasquet, Simon et Monfils sortent vainqueurs de leurs duels respectifs.



Mais ce dynamisme n’ôte pas l’avenance et la courtoisie de la population locale, toujours prête à nous donner un coup de main.

Les artistes de rue prennent place, Melbourne vit.